Hopika anime un réseau de consommateurs / citoyens
Alors, pour bénéficier de la vie de l’association, rencontrer des acteurs inspirants devenez adhérents grand public.
Je m’appelle Thierry et je suis le fondateur d’Hopika.
A l’été 2013, j’ai rejoint la Haute-Savoie, un amour de vacances, pour offrir une vie moins stressante à mes enfants.
Ses reliefs à perte de vue m’inspirent et apportent la sérénité que nous étions venu chercher en famille. Que l’on y est bien..
Cependant, malgré les sommets prometteurs d’air pur, nos vallées sont le champ de bataille où particules fines et pollution en tout genre s’en donnent à cœur joie.
… Je me suis dit : « Je dois faire quelque chose ! »
Un terrain de jeu exceptionnel.
Et oui, la richesse naturelle de notre territoire, entre lacs et montagnes, nous offre l’opportunité de pratiques de pleine nature extrêmement diversifiées. Son passé et son histoire, tout deux très riches, nous ont laissé un patrimoine de toute beauté.
Voici de quoi nous offrir un territoire d’épanouissement illimité.
Pour ces raisons, nous devons préserver, valoriser et développer ce territoire qui le mérite tant.
Et quel bel axe que d’envisager la pratique de loisirs pour mener à bien cette mission. Vous ne trouvez pas ?
Le changement de comportement, pour qu’il soit pérenne et serein, se fait petit à petit.
pour participer à la préservation de nos territoires de montagne, mixant sommets, lacs et vallées, si riches par leur diversité.
qui est indispensable pour sensibiliser au respect et à la préservation de mère nature
car le respect de l'environnement, est indissociable de la notion de local.
Voici pour le plus gros de l’histoire… Si vous souhaitez en savoir encore plus contactez-nous, nous nous ferons une joie d’échanger avec vous.
Le pika est un petit rongeur montagnard qui ne sait pas réguler sa température corporelle, alors en cas de réchauffement, il est obligé de monter plus en altitude… Malheureusement, il supporte mal la raréfaction de l’oxygène.
De plus, la présence humaine sur son territoire à un impact considérable sur sa capacité à faire des réserves pour l’hiver… Il en a peur, le prend pour un prédateur et reste alors cloîtré dans son terrier au lieu d’aller chercher de la nourriture.
Il m’apparaît alors comme étant la figure idéale pour représenter ce projet qui participe aux changements de comportements liés aux enjeux majeurs du respect de l’environnement.
Enfin, le préfixe « hop” vient de la traduction anglaise de l’espoir (hope) et de l’intention d’aller de l’avant (hop !) pour tendre ainsi vers des comportements plus écocitoyen.